Je suis petit. 1m56 pour 53kilo. Je suis dans les plus petits garçon de la classe je crois…
J'ai la peau très pale aussi. Mes cheveux me tombent au cou et sont violet lavande. Mes yeux eux sont violet magenta et… Ce sont de yeux de démon. Ils ressemblent à des yeux de démon.

Je porte souvent une veste à capuche. Je n'aime pas montrer mon visage et… Je préfère être discret à vrai dire. Je cache aussi souvent mes bras avec des manches assez longue. Ils sont couverts de bandages. Je me mutile pas, ça sert juste à cacher les marque d'un vielle "accident". J'ai aussi des pansement sur mon visage qui cachent la même chose.
Tout ça me rend encore plus monstrueux que je ne le suit déjà. Mais tout ça… j'en suis le seul responsable. En fait je suis vraiment un démon. Le plus faut chez moi c'est ce qui me fait ressembler à un humain.
Ça me vas d'être un monstre. Et ça me vas de ressembler à un démon.

Je déteste les gens. Enfin surtout ceux qui se plaignent toujours de leurs soucies. Je fais pas de hiérarchie de la souffrance juste… Les gens se plaignent pour se plaindre! Ça me file la gerbe. À la moindre contrariété ils se bloquent et utilisent tout les prétextes pour ne plus avoir à faire d'effort.
Mais je suis pas mieux. Juste moi on m'oblige à être fort.
Enfin c'est pas exactement ça.
En tant qu'handicapé on me vois comme la petite chose fragile. C'est… Juste arrêtez. JE SUIS PAS UNE PETITE CHOSE FRAGILE!
Et derrière, en tout bon paradoxe humain qui se respecte, je doit jamais me plaindre. Oui manquerais plus que j'ose casser leurs image du petit handicapé fragile mais courageux qui supporte tout en silence. Faut dire que si je me plaignais au moindre soucie comme le font les valide on m'entendrais souvent. Vraiment souvent.
Je vais pas casser leurs confort et leurs bien-être après tout. Oui, je vais rester le petit miséreux qui leurs rappel que, eux, ils ont de la chance quand même!
Et si vous cherchez la définition de sarcasme elle est en bas de la fiche.

…

Enfin tout ça, toute ma colère, je le garde généralement pour moi…
J'ai tellement de rage en moi que si je la laissais éclater je traumatiserais au moins la moitié de ma classe à vie. Donc mieux vaut être discret. Etre l'oublié de la classe…
Je reste le petit handicapé discret, atteins du Poison Karma, qui reste seul dans son coin. Asocial et répondant froidement à toutes tentatives d'approche. Enfin… hors mis quelques exceptions…

Aussi, j'aime beaucoup les créatures de ce monde, autres que les peuples dits civilisé. Tout les animaux et autres créatures sont de ce que j'affectionne… Ils font preuve d'une mentalité bien trop rare chez les humains. Ils ne jugent personne. Jamais personne. Vous pouvez être le plus doux des êtres ou le plus violent ils vous traiteront selon ce qu'ils voient de vous.
Cependant je détestes ceux qui les attaques sans raison ou en prétendant qu'ils sont dangereux. Ils ne son aucunement dangereux, juste mystérieux.
Moi, je refuse de les blesser. Il faut juste les comprendre et s'adapter. Si ils attaquent c'est pas sans raison, il faut savoir pourquoi et agir en conséquence. On peut agir sans violence en faisant des efforts… La violence… Ne fait faire que de douloureuses erreurs…

La folie fait peur aux hommes. C'est un fait. Les hommes ont peut de devenir fou et craignent ceux qu'ils qualifient comme tel comme si ils était contagieux. Comme si la folie était aussi contagieuse que la peste noir. Mais vous savez ce qui est ironique? C'est que tout les hommes sont fou. Et les pire sont surement ceux qui sont effrayer par le concept de folie. L'idée les effraie tant qu'ils ferait les choses les plus folles pour fuir la folie.
Alors pourquoi fuir la folie quand la fuir fait de vous quelqu'un de fou?
C'est une fausse question. Je connais déjà la réponse. C'est le déni.
Dites à quelqu'un une vérité qu'il ne veux pas entendre et il la nieras en masse, même si vous argumentez mieux que vous n'avez jamais argumenter.
Le déni c'est… Intéressant. Ça poussent à des extrêmes telles que vous pourrais croire à tout les mensonges les plus improbable pour peu qu'ils semblent confirmer ce que vous souhaitez croire. Vous voulez un exemple? Hé bien… se persuader que son propre enfant est responsable de ses propres malheur jusqu’à se dire qu'il n'est pas de vous. Voir qu'il n'existe même pas.
Mais après je suis le fils de la folie elle-même alors peut-être que j'étais bien responsable de ses problèmes.
Ho vous êtes perdu? Bien, je vais commencer par le début donc.

À vrai dire mon passé est assez flou… Je pense que certaines choses était tellement dure à supporter que mon cerveau à fait en sorte que je m'en rappel pas.
Je ne vois jamais le visage de mon père dans ma mémoire. C'est juste… Un amas noir. Non en fait mon père n'est qu'une ombre terrifiante dans ma mémoire.
Je me souviens… Qu'on manquais d'argent… Que le sujet de ma mère le mettais en colère… Des poubelles remplie de bouteilles d'alcool que je devais sortir régulièrement…
Mon père n'as jamais levé la pain sur moi… Ou si peut-être bien… Il m'insultais juste… peut-être… Je sais plus…
Je sais… Qu'il avait finis par me haïr… Ou il avait juste peur de mes pouvoirs?
Ce dont je suis sur c'est que ma simple présence aggravais ses problèmes. J'en avais pas conscience à cette époque mais j'aggravais la folie de toutes personne autour de moi pour peu qu'elles me côtoie suffisamment longtemps et soit plutôt mentalement fragiles.
Mon père fut la première victime. Au début il était juste colérique, puis il s'est mis en tête que j'était pas de lui, que j'étais pas son fils… Jusqu’à croire que j'était un démon venu le hanter…
Et c'est ainsi qu'il finis loin de moi, emmené dans un asile. Je ne l'ai plus revus depuis.

J'avais… 5 ans, je crois, quand j'ai commencer à passer de foyer d'accueil en foyer d'accueil. Certains était bien mais la plupart était horrible… j'avais finis par nourrir en moi une haine qui grandissais de jour en jour.
Et cette haine elle a éclaté à mes 10 ans. Je me souvient très bien de ma maison et famille temporaire à cette époque. Le père était très colérique et la mère ne pensais qu'a son image en disant "regardais comme j'ai pitié pour ce jeune orphelin handicapé!"
Ils me donnais la nausée. Mais leurs filles… au début je me méfiais. On s'était déjà montré gentil envers moi pour mieux me poignarder dans le dos. Mais cette fois j'avais trouvé quelqu'un de réellement gentille.

Je me souviens d'un jour en particulier.
Dans cette famille il y avait deux placard. Le premier était celui pour les enfants de passage tel que moi, on n'y trouvais de la nourriture de sous marques juste dégoûtante. Le deuxième était plein de bonne nourriture de marque mais réserver aux membre de la famille, je n'avais pas le droit d'y toucher.
Et ce fameux jour j'avais enfreins cette règle et m'était faire sévèrement grondé par la mère de la famille. Mais peu après, que j'étais seul sur le canapé, la fille se mise à coté de moi et me posas une simple question.




Je ne pue retenir un sourire. Je répondis rapidement, sautant sur la proposition.




La fille se levas et m'en pris quelques uns dans le placard qui m'étais interdit. C'était peut-être rien pour elle mais… ça faisait longtemps que personne ne m'avais jamais rien donné aussi gentiment.
Apres ce jour la fille de la famille tentas d'être toujours très gentil avec moi. Elle demandais à ses parents de m'amener avec eux au restaurant, de m'acheter de nouvelles chaussures ou de nouveaux vêtements. Eux ça les gênais clairement mais elle… Elle restait toujours très gentil avec moi. Mais malheureusement ma haine grandissais toujours.
Un jour j'ai finis par agir sous la haine. Elle n'éclatas pas d'un coup. C'étais plus… Insidieux que ça.
J'attendis le soir pour aller voir la fille de la famille dans sa chambre et je lui racontas une histoire terrifiante en la faisant passé comme réelle. Ensuite je me suis servit de temps à autre de mes pouvoirs pour qu'elle y crois autant que possible.
Pourquoi? Pour la convaincre de partir pendant une journée.
Je lui avais dit que je savais comment régler le problème mais qu'elle ne devais pas être la pour ça. Elle acceptas et partis le samedi suivant chez une amie pour toute la nuit. C'étais exactement ce que je voulais.

Ce soir là je m'était pas endormi. J'avais attendue que tout le monde dorme, puis j'étais sortis de ma chambre. J'agissais quasiment de manière automatique, comme un robot. Je suis allez chercher un bidon d'essence dans le garage. J'en ai répandu un peu partout jusqu’à sortir de la maison. J'ai craqué une allumette. Je l'ai jeté dans la maison et… J'ai réalisé que je venais de réaliser la plus grosse erreur de ma vie.
Je suis rentrer rapidement en espérant éteindre le feu mais il était déjà trop tard. Mes maigres efforts ne servais à rien mis à part me laisser des marques indélébile sur le corps…
Les pompiers sont arrivé, alerté par les voisins. J'ai été sorti de la maison et j'ai vue Itoe, la fille de la famille, fixer sa maison en train de brûler. Elle pleurais sans aucunes expression facial, si ce n'est le choque de ce qu'elle voyais. Elle m'a ensuite regardé. Elle savais que j'était le responsable mais… Elle n'avais aucune haine dans ses yeux.
Ce soir là tout le monde est mort dans cette maison, hors mis moi. On ne m'as même pas soupçonné pour mon crime… J'ai tuer des gens sans jamais être punis pour ça…

Apres ça j'ai recommencer à passer d'un foyer à un autre. Puis ça s'est arrêté quand j'ai eu l'âge de rejoindre l'académie. Etant à l'internat plus besoin de famille d'accueille. Mais là bas j'ai retrouvé-

-Hé Koni! Tu fais quoi? Tu rêvasse? C'est vraie que la vue est belle d'ici.

Itoe est toujours aussi gentil qu'avant avec moi. Elle me traite comme son petit frère mais… Je pense que ce qu'il c'est passé y as 6 ans lui a laissé de sérieuse séquelle mental… par ma faute.